(Agence Ecofin) – Le rapport souligne que le télétravail et le mode hybride exacerbent les cyber-risques et obligent les entreprises à investir dans des solutions de protection plus avancées des points d’extrémité, tels que les systèmes de prévention des intrusions basé sur l’hôte, les réseaux privés virtuels d’accès à distance et l’authentification à deux facteurs.
Les entreprises africaines perçoivent les attaques par courrier électronique, y compris le phishing et le spam, comme la plus grande cybermenace, selon un rapport publié fin juin dernier par Liquid C2, un fournisseur panafricain de services cloud et de solutions de cybersécurité.
Intitulé « The evolving cyber security landscape in Africa », le rapport se base sur une enquête menée auprès d’un échantillon de responsables de la cybersécurité exerçant dans 139 entreprises actives dans trois pays du continent, en l’occurrence l’Afrique du Sud, le Kenya et la Zambie. Ces entreprises emploient plus de 50 personnes chacune et opèrent dans une multitude de secteurs, dont la finance, les mines, l’éducation, l’industrie, le BTP, la grande distribution, le transport, le tourisme, l’agriculture et le gaming.
Appelés à classer les principales cybermenaces pour leurs entreprises, les responsables de la cybersécurité interrogés ont cité les attaques par e-mail (74%) devant les logiciels malveillants (52 %), la compromission du mot de passe (47%), l’usurpation d’identité (42%), le stockage des informations confidentielles dans le cloud public (40%) et les menaces d’initiés (29%). Lire la suite.