Le rapport de cette année montre que, selon des tests de référence dans tous les secteurs, les employés non formés en Afrique obtiennent de moins bons résultats, soit 36,7 %, contre une moyenne mondiale de 34,3 %. Cela signifie qu’en général, les employés des pays africains sont plus susceptibles de cliquer sur des liens malveillants ou de se conformer à des demandes frauduleuses. Cela représente une augmentation par rapport au rapport de l’année précédente. Il est important de garder à l’esprit la diversité linguistique, culturelle et économique considérable du continent ainsi que les défis de taille auxquels les pays africains sont actuellement confrontés lorsqu’ils examinent l’état de leur cybersécurité. Lire la suite.
Source : news.dayfr.com