L’ONU a adopté son traité sur le cybercrime. Destiné à renforcer les moyens de lutte contre la cybercriminalité et favoriser la coopération internationale en la matière, le texte fait polémique. En cause, une trop grande liberté accordée aux Etats d’utiliser le traité pour légitimer la surveillance et criminaliser les pratiques de journalistes d’investigation, hackers éthiques et artistes. Lire la suite.
Source : https://www.ictjournal.ch