Sources: Sikafinance; newsafrica
La Bank of Arica aurait été victime d’un ransomware par des cybercriminels qui réclameraient la modique somme de 10 millions de dollars, soit environ 6 milliards FCFA, en échange de données qu’ils auraient dérobés. Si les cybercriminels ont mis à la disposition du public un « échantillon » des données qu’ils possèderaient , force est de constater que la banque affirme avoir subi une simple « tentative d’intrusion » de son système informatique qui aurait été rapidement maitrisée.
Une telle situation nous indique encore que la cybercriminalité demeure l’un des défis majeurs du continent africain comme le mentionne Franck Kié, consultant en cybersécurité, dans son interview portant sur le marché cyber africain. À cet effet, l’actualité politique malienne marquée depuis plusieurs années par différentes attaques terroristes nous interroge sur la corrélation entre ces attaques et celles effectuées par les cybercriminels. Une situation socio-politique instable constitue-t-elle un facteur de vulnérabilité pour les États face aux menaces cyber ?
Dans tous les cas, différentes méthodes peuvent être mises en place pour prévenir convenablement ces attaques. Pour en savoir plus, cliquez simplement sur ce lien.