Il est indéniable que dans les sphères économiques et politiques mondiales, certains agendas prédominent, dictant souvent les orientations et les priorités des politiques publiques et des investissements. Ces agendas, qu’ils soient politiques, économiques, financiers ou liés à la transition énergétique, sont façonnés par les grandes puissances économiques et scrupuleusement promus voire imposés par les institutions internationales. Pourtant, aujourd’hui, nous devons reconnaître que ces agendas ne sont pas alignés avec les intérêts, les réalités et les défis spécifiques auxquels est confrontée l’Afrique, telle que la transformation numérique.
Dans un monde qui avance à pas de géant dans l’ère numérique, l’Afrique ne peut se permettre d’être laissée pour compte. La transformation numérique n’est pas seulement une question économique, c’est aussi une question de survie pour l’Afrique. Lire la suite
Par Yahya Ould Amar sur www.kapitalis.com